Depuis 1982, Philippe Chancel chercher à photographier la beauté du désastre. Il se rend là où survivent et s’épanouissent les idéologies qui détruisent le monde. Parmi ses voyages, entre fascination et répulsion : des endroits à part et secrets, impénétrables. Mais aussi ces coins « les pourris de la planète » où les homme subissent le courroux de la nature, quand ce n’est pas l’inverse. « Quand l’homme commence à se détruire à travers son écosystème et son environnement, il faut tirer le signal d’alarme. »
L’exposition « Welcome to Paradise » pioche dans la mémoire visuelle de Philippe Chancel, à la recherche de quelques-uns des reportages les plus éloquents de ce documentariste qui s’est fixé comme but de diagnostiquer les maux de notre planète. Tous les maux.