Piers Faccini porte les traces d’une généalogie métissée, chrétienne, juive et arabe, un Londonien qui viendrait de Fez pour échouer en Sicile. Sa musique est ici peuplée de mandoline, théorbe, guitare baroque, guembri, zampogna. Une folk orientale dansante d’une Méditerranée médiévale et imaginaire, tel est le voyage entre rêve et réalité que propose Piers Faccini.
Te Beiyo, quant à elle, promet une première partie faite d’une folk métissée et chaloupée aux accents d’entre deux Amériques.