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Les femmes autochtones sont particulièrement à risque face aux changements climatiques car elles sont marginalisées par leur origine ethnoculturelle et par leur genre. Cependant, leurs activités étant différentes de celles des hommes, elles ont développé des savoirs environnementaux spécifiques pour renforcer la résilience de leur culture. En Europe du Nord, les femmes sámi sont très investies dans la protection de l’environnement. En Amérique Centrale, ce sont les femmes Cabécars qui s’organisent pour récupérer l’habitat naturel entre agro-écologie et sororité.
Les intervenants sont :
- Chloé Hadida, consultante Transition écologique et sociale et coordinatrice du projet GCC (Gender and Climate Change) de l’association CliMates.
- Laëtitia Marc, anthropologue des changements climatiques. Ses recherches portent sur l’activisme des femmes autochtones en Arctique.
- David Siqueiros, journaliste et correspondant de Libération au Mexique.