Derrière les immenses facilités d’une pianiste-phénomène se cache une musicienne dotée d’une grande curiosité. Son répertoire, déjà considérable, fait la part belle à la musique russe : son abatta…
Derrière les immenses facilités d’une pianiste-phénomène se cache une musicienne dotée d’une grande curiosité. Son répertoire, déjà considérable, fait la part belle à la musique russe : son abattage et son sens de l’atmosphère y font merveille.
Yuja Wang ? Une nature de pianiste comme il en existe peu. Vélocité et précision surnaturelles s’allient à un jeu d’une clarté aveuglante. Sa capacité à apprendre en un temps record les partitions les plus difficiles permettent à son répertoire de se diversifier rapidement. Si l’on ajoute un charisme hors norme et une propension à capter la lumière, on tient en cette jeune musicienne chinoise une des virtuoses les plus remarquables apparues ces dernières années. La mélancolie de la musique Tchaikovski, le relief de celle de Prokofiev et le lyrisme profond des pages de Rachmaninov sont propices au déploiement de ses multiples qualités.
Lieu : Grande salle Pierre Boulez – Philharmonie
Tarifs : Cat.6 : 10€ / Cat.5 : 20€ / Cat.4 : 40€ / Cat.3 : 60€ / Cat.2 : 75€ / Cat.1 : 85€
Billetteries :
Billetterie de la Philharmonie de Paris